FO DGFIP 27 réclame l’augmentation du nombre de personnels, et la stabilité des structures.

Le point 5 du CTL du 26 septembre 2022 portait sur le TBVS (tableau de bord de veille sociale). Il s’agit, au travers de plusieurs items (arrêts-maladie, effectifs, horaires écrêtés, télétravail, signalements…) de faire des comparaisons sur plusieurs exercices, et de constater des zones de risques.

Les comparaisons pour l’exercice écoulé sont particulièrement compliquées, et nous rendent prudents sur des conclusions par trop hâtives :
 avec la crise Covid 19, le télétravail s’est développé autant contraint que choisi ;
 cette même crise covid change complétement les chiffres des arrêts-maladie
 le NRP (nouveau réseau de proximité) est terminé dans l’Eure, et beaucoup de structures ont fermé, entrainant une impossibilité d’opérer des comparaisons par service ;
 l’accueil du public s’est réduit à peau de chagrin, ce qui explique en grande partie le nombre de signalement au guichet en forte baisse.

FO DGFIP 27 réclame la stabilité des structures actuelles. Les agents n’en peuvent plus des changements constants. Impossible de le voir dans le TBVS, mais les études sur le bien être au travail dans l’Eure le montre. Avec la stabilité, nous pourrions, ainsi, mesurer l’évolution par poste sur des structures pérennes. Quand nous disons pérennes, nous souhaitons plusieurs lustres (un lustre fait 5 ans).

Nous avions en 2021, 10 contractuels. Au delà de cela, nous avions 531.74 ETP en 2021, contre 520,96 en 2020. Nous devons saluer l’effort important de la Direction pour pourvoir les emplois vacants dans l’Eure, dès 2021. Nous constatons que cela continue pour 2022.
C’est une revendication très importante pour FO DGFIP 27 : que les postes vacants soient pourvus. Nous l’avions réclamé à l’ancien Directeur, JL BRENNER, qui nous avait écouté. Nous avons renouvelé notre demande auprès de S LOPEZ, dès son arrivée. Le compte n’y est pas encore, mais l’inflexion est très significative. Suivant le mode de calcul utilisé (en comptant les départs au cours de l’année, et les arrivées au prorata temporis), il manque encore entre 50 et 70 agents. Il y a encore du chemin. Pour les suppressions de poste, nous verrons le mois prochain, car il faut bien distinguer poste vacant et poste supprimé.