Syndicat national F.O.-DGFiP
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FLASH INFOS 17 et 18-2022 CTM du 23 juin 2022

(le lundi 27 juin 2022 sur: https://www.fo-dgfip-sd.fr/040)

Comité Technique Ministériel : Un contexte pour le moins inédit

Déclaration liminaire
Le Comité Technique Ministériel convoqué le 23 juin, a eu un caractère exceptionnel et pour le moins inédit. Après des élections qui ont octroyé au parti présidentiel une majorité toute relative, il a été présidé dans sa première partie par Messieurs Bruno Le Maire et Gabriel Attal, alors même que l’incertitude demeure sur la pérennité du gouvernement auquel il participe.
Plusieurs textes ont été soumis au vote des représentants du personnel dans une seconde partie présidée par Madame la Secrétaire Générale de Bercy.
FO Finances a énoncé auprès des ministres la déclaration suivante, développant la situation des services dans les directions de Bercy, les attentes des personnels et les principales revendications de notre organisation, que nous avions déjà pu exprimer dans un courrier que nous avons adressé à Monsieur Attal, dès sa prise de fonctions.

Compte-rendu : Quelques annonces mais pas de changement de cap
Après les échéances électorales de ce premier semestre, les ministres Bruno LE MAIRE et Gabriel ATTAL ont présidé la première partie du Comité Technique Ministériel.
Après les propos introductifs des ministres, FO Finances, comme l’ensemble des fédérations, a exposé les attentes et revendications des personnels dans un environnement professionnel passablement affecté par les différentes
réformes de ces cinq dernières années, mais également après une semaine post-électorale pour le moins atypique.
Est-ce la raison pour laquelle les discours ministériels ont eu une connotation plus encline, non seulement à écouter leurs interlocuteurs du jour, mais également à répondre à certaines interrogations sur des dossiers en souffrance depuis de longs mois ? Dans tous les cas, force est de constater que ce fut une attitude qui sied mieux à ce que nous pouvons considérer comme un dialogue social normal, dont nous avions perdu le goût.

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