Section F.O.-DGFiP de l’ESSONNE
Adr.: DDFiP 128 allée des Champs Elysées 91012 EVRY Cedex Tél.: 01-69-47-19-62 Mèl : fo.ddfip91dgfip.finances.gouv.fr Site web : https://www.fo-dgfip-sd.fr/091 |
Les
ZUS « L’ARLESIENNE suite…. » ?
L’application concrète du décret ZUS est Une ARLESIENNE.
L’application
concrète du décret ZUS est Une
ARLESIENNE. La
D G considère qu’il faudra des
années pour reprendre les dossiers de tous les agents
concernés.
Effectivement, seulement 7 agents
seraient
affectés en centrale au
traitement des dossiers
alors qu’il existe 4.000 de demandes (en
gros, 1.000 demandes
traitées, seuls les agents ayant fait valoir leurs droits avant la mise en
application du décret ZUS seraient aujourd’hui reconstitués).
Une priorité
reste donnée aux agents devant partir en retraite dans les 6 mois
suivant le
dépôt de leur demande. . Le traitement des bénéficiaires est très lent, et pour cause !!! |
Chi / qui va piano va sano
Mais, cerise sur le gâteau, les dossiers traités localement puis validés par la centrale sont malgré cela bloqués pour « expertise » Concernant
le
délai
de prescription, La direction générale indique qu’aucune
décision n’a
encore été prise. Ces agents attendent qu’on leur verse les sommes qui correspondent à la reconstitution de leur carrière !!!!. |
Un décret encore non appliqué
Il subsiste des divergences quant à l’application totale du décret. En effet, s’agissant du bénéfice d’un mouvement prioritaire pour les agents ayant travaillé cinq années en ZUS, disposition inscrite dans le texte, la DGFiP. |
Cette
situation est insupportable.
Fo
DGFIP
demande :
l’application
d’un mouvement
prioritaire pour les agents en fonction depuis cinq
ans conformément
au décret,
un renforcement
des effectifs pour
garantir un délai de traitement raisonnable,
le
rattrapage intégral des sommes dues
au titre de la reconstitution de carrière (sans prescription).
Cela
vous concerne directement,
Aujourd’hui
les ZUS,
Demain quelle prime sera en attente ?
Une arlésienne est une personne constituant le sujet principal d'une intrigue mais que l'on ne voit jamais (comme dans la nouvelle de Daudet). Par extension, c'est devenu un type de personnage de fiction.