CAPL des mutations au 1er septembre 2017

Avec 137 postes vacants ( -20 A, -67 B, -47 C ) à l’issue du mouvement du 1er septembre 2017, FO dénonce les conséquences d’une politique d’emplois qui nous conduit aujourd’hui à "prioriser" nos missions voire à en abandonner certaines. ( voir notre déclaration liminaire).

Au plan local, l’affectation des agents a été établie dans le respect des règles de l’ancienneté.

Plusieurs agents titulaires ou stagiaires ont été affectés au delà de leur 3ème voeux et quelques agents ont obtenu des services qu’ils n’avaient pas demandés.

FO-DGFIP dénonce les restructurations qui ont engendré 599 demandes de mutations au niveau national.

Pour FO-DGFiP, ces remises en causes des règles de gestion ainsi que les modifications apportées sur les cartographies des RAN, ne sont que les dommages collatéraux des suppressions d’emplois et des restructurations.

FO DGFIP a dénoncé les affectations ALD. Ce type d’affectation est devenu la variable d’ajustement pour combler de façon non pérenne les vacances d’emploi dans les structures et services. La situation de ces agents ALD ne s ’améliorera pas avec les fusions géographiques de RAN.

Pour conclure, FO-DGFiP a rappelé sa constance pour revendiquer des règles de gestion qui profitent à tous les agents, à savoir :

– une affectation la plus fine possible ;

– le maintien du droit au retour dans le département ;

– 2 véritables mouvements par an ;

– la suppression des affectations en « ALD » ;

– le classement des demandes prioritaires à l’ancienneté du fait générateur ;

FO-DGFiP exige que tous les postes vacants soient pourvus, dès lors qu’ils sont demandés par un agent.